Mon récit d’expériences vécues est strictement véridique, pour autant seulement les noms des personnes et des lieux ont été changés. Depuis l’âge de douze/treize ans je me caresse assidûment le minou et suis esclave des jouissances que me donne mon clitoris. Personne ne m’a initiée. Seule dans mon lit, un léger picotement me porta à frictionner mon entre-jambe, maladroitement, et petit à petit, un plaisir inconnu a commencé par m’envahir. Au bout de quelque temps, ayant pris goût à cette douce sensation, j’avais raffiné les caresses, elles étaient plus précises, plus mesurées, et soudain..... un orgasme a déferlé du bas ventre jusque à ma gorge. Vingt ans plus tard, une tendre amie m’a enseigné d’autres méthodes plus traditionnelles de se masturber, seule ou mutuellement. Et aussi d’autres zones érogènes à stimuler. Jusqu’à ce jour je termine toujours ma dernière jouissance à deux mains, les chevilles croisées, et souvent même les cuisses serrées, croisées au dessus des genoux, soulevant, au dernier moment, mon bassin, pour pouvoir extraire le maximum de plaisir de mon orgasme. Quelques années plus tard, j’avais 18 ans, un jeune homme me dépucela et malgré tous ses efforts, je n’arrivais pas à jouir pleinement en faisant l’amour avec lui, ni même avec les trois autres qui le suivirent. Aussitôt seule, je me masturbais pour finalement assouvir ce désir qu’ils avaient allumé en moi. Ceci changea quand je connus Roger qui plus tard devint mon mari, compréhensif, initiateur de tous mes sens. ___________________________________ Le hasard a voulu qu’une amie me présenta Roger, un après-midi d’avril. Nous étions allés en bande prendre le thé à la campagne. Immédiatement il m’invita à danser au son du petit trio musical. Grand, pas particulièrement beau, mais avec beaucoup de charme, il me surprit par sa volonté de me plaire. Au retour il me raccompagna chez mes parents, m’embrassa tendrement sous mon portail, et m’invita pour déjeuner le lendemain. Ce soir-là aussitôt dans mon petit lit, ferme mais douillet, je me caressais furieusement. Les jambes allongées, les cuisses à peine écartées, deux doigts de chaque coté de mes lèvres frottant mon clitoris. Je jouissais, en silence, à plusieurs reprises en pensant à lui. Mon dernier orgasme explosa comme à l’habitude, avec mes cuisses serrées et mes jambes tendues, chevilles croisées. Ce soir-là, ma jouissance était si intense, que mon bassin se souleva et mon corps se cambra sur le matelas. Cette belle journée m’avait épuisée... Le lendemain, nous avons déjeuné dans une épicerie qui préparait de succulentes baguettes bien fraîches, remplies de viandes variées. Il me proposa d’aller, le week-end suivant, en voyage organisé, visiter les châteaux de la Loire. Mes parents étant très stricts, il me fallut recourir à cette même amie pour qu’elle me serve d’alibi afin qu’ils autorisent ce petit voyage. J’avais 24 ans et gagnais ma vie depuis l’âge de 18........ Arrivés a l’hôtel en début d’après-midi, notre grand lit fut témoin de nos premiers ébats. Après les préliminaires, abrégés par l’excitation réciproque d’un amour nouveau, je me retrouvais toute mouillée. Tendrement il me pénétra profondément et parvint à se retenir pendant un long moment, se retirant juste avant d’éjaculer. Malgré ses efforts, j’étais déçue: une fois de plus, ma jouissance n’était pas complète. Pendant qu’il se douchait, je me repris. La peur d’être découverte, multiplia l’intensité de mes deux orgasmes simultanés. Au long du dîner, Roger reconnut qu’il ne m’avait pas fait jouir pleinement. C’est alors, qu’il m’expliqua qu’un amour d’adolescent, une jeune américaine qui se masturbait depuis sa plus tendre enfance, lui avait enseigné une manière de la satisfaire complètement, elle qui ne pouvait aboutir, que par ses propres caresses. Fort de cette expérience, il me fera jouir.... Ne lui ayant pas avoué mon addiction au plaisir solitaire, aveu que je fis trois semaines plus tard, son intuition, seule, lui avait permis de découvrir mon petit secret. Après cet excellent dîner bien arrosé, notre grand lit nous accueillit à nouveau. Roger se révéla particulièrement sensuel. ___________________________ Il embrassa mes seins, mordilla mes tétons durcis par le désir, puis descendit lentement vers mon minou, tout trempé. Je sentis ses doigts délicatement écarter les lèvres de mon vagin, offrant mon clitoris gorgé à sa bouche. Il passa sa langue, doucement, sur toute la hampe, depuis la base jusqu’au capuchon qu’il roula entre ses lèvres, découvrant avec précaution et respect son extrémité ultra sensible. Je frémissais à chaque fois que le bout de sa langue frôlait cette partie de mon bourgeon. C’était mon premier cunni, ma première minette. J’implorais pour qu’il continua, mais il avait d’autres projets...... Bientôt, ses caresses se firent plus légères, à peine perceptibles, moins précises, et lentement, il retira sa langue et ses lèvres de mon minou pour m’embrasser à pleine bouche et me faire savourer mon arôme. J’étais surprise par ce goût agréable, légèrement salé qui m’excitait de plus en plus...!! Sans se presser, il s’agenouilla entre mes cuisses relevés, écartées pour le recevoir. Il me pénétra, en douceur, et me remplit entièrement. Au bout de quelques instants, il me fit étendre les jambes, les encadra des siennes, son sexe toujours au plus profond de moi-même. Avec ses genoux il m’obligea à resserrer les cuisses pour mieux le sentir. Enfin, il allongea ses jambes et, appuyant ses pieds contre les miens, il fit en sorte que son membre comprimait et frictionnait mon clitoris à chaque nouvelle pénétration. Très rapidement, une jouissance, comme je n’en avais jamais connue, envahit tous mon corps, telle une marée montante. Je tremblais sans pouvoir me contrôler. Le souffle entrecoupé, un râle de plaisir s’échappa de ma gorge. Roger se retira et se répandit en appuyant son sexe contre mon ventre, les spasmes de son éjaculation ondulants à l’unisson avec les dernières vagues de mon orgasme et prolongeait ainsi notre plaisir. C’était ma première jouissance par un homme après sept années de tentatives frustrées.. J’étais assouvie, mais malgré tout, lorsqu’il s’en fut à la salle de bains, je me fit jouir à nouveau, mes cuisses emprisonnant fermement l’agitation frénétique de mes doigts. C’était très, très bon, mais aussi, j’étais devenue beaucoup moins silencieuse qu’avant......